Pèleriner Informé

Lettre176

Lettre 176 – Rencontre nocturne devant saint Jacques

Comme tous les pèlerins, dans une sorte d’état second, une fois arrivé à Compostelle, il erre dans la ville, ne pouvant se détacher vraiment de la cathédrale, mais il en dit à peine trois mots. Au matin du 3e jour, il vit un épisode réellement extraordinaire qu’il accepte de sortir, brut, de son carnet de notes. Il écrit :
Lettre174

Lettre 174 – Quand l’histoire propose un ancrage à nos rêveries

« Il y a les historiens rigoureux auxquels on doit les étapes les plus probables sur le chemin de la vérité. Je les respecte hautement pour ce qu’ils me donnent comme ancrage à mes rêveries ». Merci à l'ami pèlerin qui m'a envoyé ce témoignage. J'ai plaisir à le placer en ouverture de cette lettre dans laquelle nous retrouverons saint Jacques en un lieu mystérieux qui porte particulièrement au rêve.
Lettre172

Lettre 172 – Le Matamore chez Claudel et García Lorca

Ce mois-ci, un jeune doctorant, ami de l'Institut, nous propose une approche littéraire et poétiquedu Matamore. Elle fait écho à celle de Margaret Hebblethwalte qui nous a présenté un Matamoreami des Indiens, très inattendu en Amérique du Sud. (Nous avons appris depuis, à la rencontremondiale, qu'il y avait eu au Mexique un Mata Españoles ...). Nous remercions chaleureusement Mikołaj Wyrzykowski, de nous entraîner dans les étoiles durêve.
Lettre171

Lettre 171 – Au Paraguay, un Matamore inattendu

Le coeur de cette lettre vient d'Amérique du Sud. La lectrice qui nous l'a apporté nous a fait rêver d'un projet présenté in fine. Nous faisons le voeu qu'il puisse rassembler de nombreuses collaborations, avant de réunir une imposante réunion internationale. Comme la marche, la recherche invite au rêve ...
Lettre170

Lettre 170 – Georgiana-GODDARD-KING.pdf

Le Quatorzième Cours d'Eté de l'Université de Santiago de Compostelle, qui avait lieu cette année du 18 au 21 juillet, nous a permis de découvrir une pionnière du Chemin de Saint-Jacques au XXe siècle : Georgiana Goddard King.