Ce mois-ci, un jeune doctorant, ami de l'Institut, nous propose une approche littéraire et poétiquedu Matamore. Elle fait écho à celle de Margaret Hebblethwalte qui nous a présenté un Matamoreami des Indiens, très inattendu en Amérique du Sud. (Nous avons appris depuis, à la rencontremondiale, qu'il y avait eu au Mexique un Mata Españoles ...).
Nous remercions chaleureusement Mikołaj Wyrzykowski, de nous entraîner dans les étoiles durêve.